Enceinte dès la première FIV | EmBIO FIV en Grèce

Enceinte dès la première FIV

κοριτσάκι μωρό

Je m’appelle Aphrodite P. j’ai 37 ans, je suis mariée pour 7 ans et j’habite à Athènes. L’année dernière je suis devenue maman suite à une FIV chez la clinique EMBIO.

J’ai décidé de partager mon expérience avec les autres femmes infertiles, dans l’espoir de les aider à comprendre qu’elles ne sont pas seules.

Je connais bien que chaque femme suivra son propre parcours pour tomber enceinte. Personnellement,  j’avais la chance d’y arriver dès la première fois mais il y a d’autres qui essaient plusieurs fois et qui changent médecins et cliniques dans l’espoir que la prochaine tentative aura du succès. Malheureusement, la médicine est encore loin de pouvoir garantir un résultat de 100% positif.

J’ai essayé de tomber enceinte de suite de mon mariage

Moi et Pierre, nous sommes mariés il y a 7 ans. J’avais 30 ans et lui 37 ans, en pleine santé tous les deux. On a commencé à faire des tentatives de grossesse tout un menant un mode de vie sain, mais le temps passait et l’événement heureux n’arrivait pas.

Après 4 ans, on s’est rendu compte qu’il devait y avoir un problème, même si mon gynécologue ne trouvait pas de pathologie chez moi. Alors, je devais trouver un médecin spécialisé dans la reproduction et l’infertilité.

La recherche d’un spécialiste de fertilité

A ce moment-là, j’ai commencé un long parcours-internet, forum, discussions avec des amis- pour trouver un médecin spécialisé. J’avais discuté avec trois gynécologues avant de choisir la clinique EMBIO. En discutant avec eux, j’ai bien compris que l’infertilité est un problème très commun qui pourrait toucher n’importe qui, malgré l’adoption d’un mode de vie sain et actif.

Aussi, j’ai appris qu’un couple ayant 30 ans ne doit pas attendre plus d’un an d’infertilité pour essayer de dépister le problème. De notre part, on a perdu 4 ans en entendant notre entourage qui nous disait que nous étions jeunes et que nous aurions eu le résultat désiré si nous parvenions à nous relaxer…..

A partir du moment où j’avais décidé de m’adresser à un spécialiste de fertilité jusqu’à le trouver une année est passée. Ensuite, on a tardé encore plus à cause de la pandémie de COVID et les confinements, vu qu’on ne pouvait faire les analyses requises.

Durant cette période, mon état de stress a touché le zénith !

Thanos Paraschos, Embio IVF Grece
Thanos Paraschos

Dépistage de l’infertilité

Les examens proposés par le Docteur Paraschos ont bien prouvé qu’il existait un problème d’infertilité. On ne pouvait le croire, nous étions tous les deux en pleine santé et subitement on a appris que nos chances de tomber enceinte sans assistance médicale étaient très faibles et s’affaiblissaient encore plus  au fur et à mesure que le temps passait et on approchait les 40 ans.

Quand on a communiqué la diagnose, nous avons senti comme une vague violente qui nous a frappés. Notre tristesse et désespoir étaient énormes. Pour moi, en particulier, c’était très difficile de travailler ou de m’occuper de mes activités habituelles. Je fondais en larmes subitement comme si je me lamentais sur quelque chose.

Je n’étais pas triste à cause du fait que j’étais obligée de faire une FIV, qui est d’ailleurs un processus très fréquent aujourd’hui, mais je doutais que je parviendrais à avoir mon propre bébé…

Durant ma vie d’adulte, j’étais sûre que je parviendrais à avoir des enfants mais à ce moment-là au lieu de dire « quand on aura des enfants…. » moi et mon mari disions « si on a des enfants….. »

Ce sont des questions inéluctables qu’une femme se pose quand elle suit un traitement de fertilité. Nous avons toutes la conviction qu’on va être mères quand on le décide. Mais quand on perd cette certitude,  il y a des interrogations qui nous hantent « je parviendrai à avoir des enfants ?» ou « si le traitement échoue ? »

Relaxez-vous ou tout ira bien

C’était très difficile pour nous d’affronter la dépression de l’infertilité et les gens autour de nous ne pouvaient comprendre tous les aspects de notre situation. Un simple commentaire ou les mots de compassion de nos proches pouvaient accentuer notre tristesse.

La phrase « relaxe-toi et tout ira bien » n’aide pas du tout une femme qui lutte avec l’infertilité. Puisqu’il y a un problème de fertilité, quel est le sens d’essayer à être zen ?

On ne doit oublier que les gens, même dans des périodes de stress et d’insécurité comme pendant les guerres par exemple, arrivent quand même à avoir des enfants. Les ovocytes et les spermatozoïdes n’ont pas besoin de conditions de sérénité parfaite pour trouver l’un l’autre, ça c’est leur mission d’ailleurs.

Auparavant, j’avais la même conviction, mais aujourd’hui je n’y crois plus : ce n’est pas le stress qui provoque l’infertilité mais bien l’inverse. La seule chose que nous avions à faire était de suivre les conseils de notre docteur et de continuer à espérer.

Nous étions informés sur les taux de réussite augmentés pour notre cas mais on avait déjà des doutes puisqu’aucun médecin ne pouvait garantir le résultat positif du traitement.

Le début de notre parcours FIV

Après avoir effectué tous les examens nécessaires, notre médecin a défini le plan FIV convenable pour nous, il nous a analysé toutes les phases du traitement, nous étions prêts à commencer.

La FIV a beau être un traitement très commun aujourd’hui dans le monde entier, elle n’est pas une démarche facile. Elle ne provoque pas de problèmes de santé ni elle engendre des risques mais elle est difficile du point de vue psychologique.

la microfécondation des œufs

J’ai commencé le traitement avec des hormones et j’attendais que mes ovaires produisent les meilleurs ovocytes de ma vie. Je constatais que mon corps changeait et j’étais contente que d’être dans une période d’action  au lieu de rester inactive à cause de la pandémie.

Après le traitement hormonal, on a fait la ponction des ovocytes. Le médecin a recueilli 5 ovocytes, dont 3 ont été fertilisés.  On attendait avec impatience le résultat de la culture des embryons pour faire le transfert au stade de blastocyste.

Finalement, 2 parmi les 3 embryons sont arrivés au stade de blastocyste, alors on a fait un double transfert. Puis, il faudrait attendre deux semaines pour le test de grossesse…..

Les deux semaines qui semblent durer une vie…..  

Je devais attendre deux semaines avant de savoir si j’étais enceinte. Ces deux semaines m’ont semblé durer une vie. Seulement les femmes qui ont la même expérience peuvent le comprendre.

Avec mon mari nous avions projeté à faire des activités pour oublier notre stress. De ma part, je cherchais des « signes » de grossesse mais en vain, ce qui augmentait chez moi le stress et l’incertitude.

Après deux semaines, je suis allée à faire la prise de sang  HCG pour détecter la grossesse. J’ai essayé de suivre les conseils de mon docteur et de ne pas faire un test de grossesse à la maison, puisque ceux-ci ne sont pas du tout fiables.

Au contraire, un test sanguin est 100 % sûr mais il faut attendre quelques heures avant d’avoir le résultat.

J’ai fait la prise de sang et je suis retournée chez moi avec un cœur qui battait comme un fou. On attendait 3 heures pour ce coup de fil….

Vous qui lisez cette lettre aujourd’hui n’avez pas d’incertitude puisque vous avez lu le titre. Mais imaginez-vous mon impatience ce jour –là!

Grossesse dès la première tentative

Après avoir  eu les bonnes nouvelles, ce jour-là était le meilleur de ma vie, le moment pour lequel moi et Pierre avions lutté très fort. Nous étions parmi ces couples très chanceux qui ont un résultat positif dès la première tentative. Je connais bien que cela n’est pas le cas pour tous les couples.

J’avais la chance de choisir le Docteur Paraschos et son équipe médicale qui nous ont accompagnés et  soutenus tout au long de notre parcours. J’avais aussi la chance que mon corps ait bien répondu au traitement.

Entre les deux embryons transférés, c’était seulement l’un qui a pu s’implanter. Aujourd’hui, j’ai une fille formidable de 4 mois, et malgré ma fatigue, je suis une maman ravie.  Avec mon mari on a pris la décision d’essayer pour un deuxième bébé plus tard.

J’espère que mon histoire va offrir espoir et courage aux personnes qui subissent ou vont subir une FIV. Ayez du courage et de la patience, osez de rêver une grossesse parfaite et une famille formidable !

Bien cordialement

Aphrodite P.

maman embrasse les petits pieds de son bébé

 

 

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CNN
La Success Story d’une FIV
avec don d’ovocytes racontée sur CNN