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Je suis d’origine indienne mais j’ai vécu pendant longtemps en Suède. A 51 ans, je n’avais aucune chance de faire une FIV en Suède, encore moins avec don d’ovocytes. L’âge limite en Suède est plus bas qu’en Grèce.

Nous avons entendu parler d’Embio et du Dr Paraschos par d’autres personnes. Le Dr Paraschos est très bon, son travail est très bon. De plus, tout le personnel à Embio est très bon. En fait c’est notre seconde tentative ici. La première était il y a un an. Cela n’avait pas fonctionné mais nous sommes de nouveau ici maintenant. La dernière fois que nous étions ici pour notre FIV avec don d’ovocytes nous avons eu une très bonne impression sur tout et sur tout le monde travaillant ici. Donc nous nous sommes sentis en confiance.

Le premier jour nous avons parlé au coordinateur FIV par rapport aux médicaments nécessaires pour la FIV. Ensuite nous sommes revenus pour une échographie et nous avons parlé au Docteur. Ensuite, mon mari est venu donner un échantillon de sperme.

Le transfert n’a pas du tout été douloureux. Tu te sens bien.

Mon mari est suédois (blond, yeux bleus, teint clair) mais nous avons choisi que la donneuse d’ovocytes me ressemble.

Nous avions envisagé de nous rendre en Estonie, en Inde ou au Sri Lanka mais nous avons suivi notre instinct. J’ai confiance en cette clinique et en le Dr Paraschos. Ce n’est pas parce que la Grèce est plus proche que l’Inde ou le Sri Lanka. Tu te sens bien ici à Embio.

J’ai 41 ans. J’ai fait des tentatives en Italie. J’ai fait 3 ICSI avec mes propres ovocytes et toutes ont échoué parce que les ovocytes étaient peu nombreux et de mauvaise qualité. Nous avons ensuite trouvé Embio et le Dr Paraschos sur Internet. On a aussi cherché en République Tchèque et en Espagne. Mon mari préférait la République Tchèque mais j’ai insisté pour que nous choisissions la clinique Embio à Athènes car toutes les explications données par email étaient claires et toutes les recommandations sur le Dr Paraschos m’avaient inspiré confiance.

Ainsi, l’an dernier, nous sommes venus pour voir, parler, pour tout savoir avant de venir faire une tentative.

Le Dr Paraschos est très gentil, la clinique FIV en elle-même (Embio) nous a fait bonne impression. J’ai fait le test de l’AMH (hormone antimüllérienne) ici, l’échographie transvaginale, toutes les analyses de sang et ensuite j’ai saisi l’occasion de faire une mammographie aussi puisque j’étais sur place.

Pendant le transfert, j’étais assez calme. Il s’est bien passé. Maintenant j’ai un peu mal car l’utérus est un peu inversé. Quatre embryons ont été transférés. Pour le don d’ovocytes, nous avions besoin d’être à Athènes pendant 3 jours mais nous avons choisi de rester 6 jours en tout pour profiter un peu d’Athènes. Nous sommes allés à la mer, au port du Pirée, nous avons vu Thission, tout ce que peut voir un touriste en six jours.

À 44 ans, après trois longues années à essayer d'avoir un enfant, nous sentions que nous étions dans une impasse. J'avais tenté quatre fécondations in vitro en Australie, mais mon corps ne produisait jamais plus d'un seul embryon. Trois de ces cycles ont dû être annulés, et la seule fois où nous sommes parvenus jusqu'au transfert d'embryon, cela n'a pas fonctionné. La charge émotionnelle était immense.

Un médecin nous a finalement recommandé de nous tourner vers la Grèce, qui offrait une solution à une préoccupation qui nous pesait énormément : la confidentialité. En Australie, le don d'ovocytes n'est pas anonyme. Nous avions entendu l'histoire d'une donneuse qui avait plus tard décidé de récupérer son enfant, et cette incertitude était quelque chose d'insupportable pour nous. Fonder notre famille est un cheminement personnel, et nous voulions protéger cette intimité.

Ce qui nous a véritablement guidés vers emBIO à Athènes, c'est ma sœur. Elle est venue dans cette même clinique, et aujourd'hui, elle est l'heureuse maman de triplés et se porte à merveille ! Voir sa réussite et ses bébés grandir si bien nous a donné une confiance qu'aucune statistique n'aurait jamais pu nous apporter. Nous savions que nous suivions une voie qui avait déjà apporté la joie à notre famille.

Dès l'instant où nous sommes entrés, nous nous sommes sentis en confiance à la clinique emBIO. C'est un lieu moderne et accueillant, et toute l'équipe nous a traités avec une gentillesse remarquable. Nous avions une demande spécifique concernant la thalassémie et voulions nous assurer que notre donneuse n'était pas porteuse. L'équipe a pris cette demande très au sérieux, ce qui nous a apporté une grande tranquillité d'esprit.

L'ensemble du processus a été géré avec le plus grand soin. J'ai commencé mon traitement à Sydney avant de me rendre à Athènes pour les étapes finales. Il a fallu environ quatre semaines pour synchroniser parfaitement mon cycle avec celui de notre donneuse, un peu plus longtemps que pour ma sœur, mais l'équipe a tout géré de manière transparente. Le jour du transfert, l'intervention a été rapide et étonnamment simple, un peu comme un frottis de routine. Après un si long et difficile parcours, nous sentons enfin que nous sommes entre de bonnes mains.

Nous sommes mariés depuis de nombreuses années. Je suis désormais âgée de 50 ans et nous essayons d’avoir un enfant depuis que j’ai 20 ans. Nous avons fait de nombreux traitements par FIV en Australie avec mes propres ovocytes à Monash IVF à Melbourne de mes 30 ans à mes 40 ans. A 40 ans, je suis tombée enceinte de jumeaux avec mes propres embryons congelés mais j’ai fait une fausse-couche.

J’ai ensuite abandonné pendant 10 ans et puis j’ai vu Mary Coutsas à la télévision. Je me suis rendue en Grèce pour essayer et tomber enceinte grâce à un don d’ovocytes. Je n’étais pas informée de la FIV avec don d’ovocytes avant de voir le documentaire de Mary Coutsas à la télévision.

Ensuite je suis revenue à la clinique Monash IVF et ils m’ont dit que cela couterait 45000 dollars australiens de faire venir des ovocytes pour moi d’une banque d’ovocytes américaine. Ou alors je devais trouver mon propre donneur en Australie, ce qui pouvait prendre 2 ans. Une tonne de paperasserie et de procédures. Et tu dois te battre. Et ensuite j’ai fait des recherches sur la maternité de substitution et l’adoption mais nous étions trop âgés, 40 ans est l’âge limite en Australie.

Tu attends 10 ans et ensuite, si tu es chanceuse, ils peuvent te donner un enfant. Les gens ne donnent plus d’enfants à l’adoption désormais.

La maternité de substitution est encore pire. Encore plus de paperasserie. Et la mère biologique peut changer d’avis à la dernière minute et le garder même si c’est notre embryon.

Et sur le certificat de naissance il y a son nom, pas le nôtre. Et ils doivent garder contact jusqu’aux 18 ans de l’enfant. La maternité de substitution est vraiment mauvaise. J’étais vraiment désespérée et puis j’ai vu Mary Coustas, j’ai cherché sur Internet quelle était la meilleure clinique de fertilité au monde et la Grèce est apparue en premier et l’Espagne en deuxième.

J’ai donc cherché sur internet ‘’Traitement de fertilité en Grèce’’, et j’ai trouvé Embio. La clinique Embio m’a semblé bien plus professionnelle que les autres cliniques grecques et j’ai envoyé un email à la coordinatrice FIV. Elle m’a répondu le soir même par email et m’a expliqué le traitement. J’étais vraiment surprise qu’elle ait répondu aussi vite.

Et le Dr Thanos Paraschos a dit ‘’ Pour tout renseignement, demandez à la coordinatrice FIV et vous êtes les bienvenus dans ma clinique’’

Et il nous a envoyé plein d’informations et de liens sur Embio.

Pendant 2 semaines j’ai correspondu presque chaque soir avec la coordinatrice FIV. Je lui ai posé plein de questions et elle a répondu à tout. Elle a été fantastique. Elle m’a donné le courage de prendre ma décision. Et ensuite elle m’a envoyé des informations, quels tests je devais faire en Australie, ainsi que mon mari pour accélérer et nous faciliter le processus.

Nous devions nous rendre sur place seulement pour le prélèvement de sperme et le transfert d’embryons. Tout cela, en une semaine. En 3 rendez-vous. Le lundi était le premier rendez-vous, le mercredi le prélèvement de sperme et le vendredi le transfert d’embryons. Cela n’aurait jamais eu lieu en Australie. Et nulle part ailleurs je pense. Et c’est aussi très bon marché comparé à l’Australie. Nous sommes restés 4 semaines de plus pour visiter. Athènes est une très belle ville. Nous n’étions pas stressés. Tout était fait en une semaine. Nous sommes très satisfaits de la clinique, de la coordinatrice FIV et du Dr Thanos Paraschos !

Bonjour,

je tenais à vous informer de la naissance de mon fils, Martin, 50 cm pour 3,680 kg... je vous joins une photo de lui.

Avec tous mes remerciements pour votre accueil chaleureux et votre suivi attentif,

Cordialement,

J’ai fait des tentatives en Australie pendant 3 ans et demi. Deux transferts ont été un échec. Lors de mes recherches pour trouver une autre clinique de FIV, j’ai constaté que la Grèce était reconnue dans le monde entier dans le domaine de la FIV. La Grèce est leader dans le monde et on devrait les féliciter pour ça. Ils sont au meilleur niveau. Je peux comparer l’Australie et la Grèce puisque j’ai expérimenté les deux situations. Et il est un fait que la Grèce est leader dans le monde pour la FIV.

En cherchant, j’ai été impressionnée par le Dr Paraschos qui a collaboré et travaillé avec l’Université Hammersmith et par sa décision de venir en Grèce et de diriger le centre de fertilité EMBIO. Ce qui m’a le plus impressionnée a été le professionnalisme et les réponses rapides d’Embio qui ont renforcé ma décision de me rendre en Grèce le plus vite possible. La sage-femme avec qui je correspondais, ainsi que le Dr Paraschos, ont fait preuve d’un professionnalisme remarquable tout en exprimant une grande empathie pour moi et toutes les femmes dans ma situation dans le monde. C’est très rare dans la branche médicale de trouver des personnes professionnelles éprouvant de la compassion et comprenant vraiment ce qu’un patient souhaite et traverse comme épreuve. Ils m’ont soutenu à 100% pendant tout le processus.

Le Dr Paraschos et la coordinatrice FIV me répondaient toujours le plus vite possible. Non seulement ils m’ont impressionnée du point de vue médical, mais ils ont également fait beaucoup d’efforts pour s’assurer que mon arrivée en Grèce allait bien se passer et m’ont même proposé de m’aider pour mon arrivée, le logement et tout ce qui était nécessaire. En arrivant au centre médical Embio, j’étais impressionnée et rassurée par l’excellent équipement médical de pointe. Le service et les soins m’ont laissée sans voix et je les félicite sincèrement.

Je recommande sans hésitation à tous, dans le monde entier, de venir à EMBIO pour constater l’excellent service et je leur souhaite sincèrement tout le meilleur parce que je sais qu’il y a beaucoup de gens dans mon cas. N’ayez pas peur, si vous en avez les moyens, ça vaut vraiment le coup d’essayer pour quelque chose de si important et sacré.

Je suis restée 11 jours à Athènes. Il est important de se reposer au moins une semaine pour reposer son corps, et de faire ensuite le transfert, de laisser son corps se reposer de nouveau avant de prendre l’avion du retour. Le vol pour l’Australie est très long (16 heures). Si quelqu’un vient d’un endroit très lointain, il est important de prendre au moins une semaine pour laisser du temps à son corps pour se reposer et se détendre. Et de profiter aussi des beautés de la Grèce.

J’ai fait une FIV avec don de sperme et don d’ovocytes. A Victoria, où je vis, l’âge limite pour le don d’ovocytes est de 45 ans. J’ai cherché des dons d’ovocytes pendant 1 an.

A propos de la clinique Embio, en un mot je dirais: remarquable!

Le Dr Paraschos est très gentil et bienveillant.

Ils m’ont dit que je pouvais le même jour que le transfert d’embryons mais j’ai décidé de rester et de passer des vacances en Grèce et à Chypre et après en Espagne et à Paris donc je serai en Europe jusqu’en Septembre.

Quatre embryons ont été transférés. Je suis excitée.

Tout était parfait. Je n’aurais pu espérer une meilleure expérience.

Je sens qu’ils ont pris soin de moi.

J’ai subi deux fausses-couches dans le passé et j’ai pensé que j’aurais plus de chances d’avoir un enfant avec un don d’ovocytes. J’ai 50 ans et mes règles commencent à devenir irrégulières.

J’ai fait beaucoup de recherches et j’ai trouvé que la clinique Embio paraissait très professionnelle et le Dr Thanos Paraschos ayant travaillé avec le Professeur Winston, j’ai pensé que c’était la solution.

Je me suis souvenue du visage du Dr Paraschos de programmes télévisés que je regardais quand j’étais plus jeune.

Tout a concordé. Le site web était très professionnel. J’avais toutes les informations nécessaires.

J’ai envoyé un mail à la coordinatrice FIV et elle a répondu à toutes mes questions. Je lui ai demandé quelles étaient les meilleures options qui s’offraient à moi. Elle m’a repondu immédiatement. Le contact était très bon.

Quand j’avais des inquiétudes à propos de quelque chose, j’écrivais un mail à notre coordinatrice FIV et elle me rassurait. Elle reprenait contact avec moi et m’expliquait tout d’une manière franche et honnête.

Finalement, c’était une expérience plus facile que ce dont à quoi je m’attendais. J’étais stressée en arrivant la clinique mais j’ai été vraiment rassurée quand j’ai rencontré le médecin. C’était vraiment plus simple que ce que je croyais.

Il n’y avait aucun problème avec la langue car la coordinatrice FIV parlait très bien anglais, et le docteur aussi. Nous avons même demandé de prendre une photo avec le médecin et la coordinatrice FIV. Nous ne l’aurions pas fait si nous ne nous étions pas sentis à l’aise. La clinique a même changé les dates pour nous car on déménageait.

(Peter) J’ai fait un spermogramme en Ecosse et j’ai dû faire 3 tentatives car j’étais anxieux. Quand nous sommes venus à Embio, on m’a donné le choix de le faire à l’hôtel et pas à la clinique. J’ai choisi de le faire à l’hôtel car c’était plus confortable.

Nous nous déplacions en taxi ce qui était très bien. Se rendre à la clinique était assez simple. Cela coûte 10 euros du centre d’Athènes jusqu’à la clinique.

(Ann) Notre coordinatrice FIV nous a dit que 4 ovocytes avaient été fertilisés, 3 seulement ont été implantés car un des quatre n’était pas bon.

Aujourd’hui, pendant le transfert d’embryons, Peter était plus nerveux que moi. Le transfert d’embryons a été rapide. Ils ont trouvé un polype à l’extérieur de l’utérus. Je dois aller le faire contrôler. Je ne l’aurais pas su si je n’avais pas fait le transfert d’embryons.

Donc c’est une bonne chose.

Tout le traitement médical a été clairement expliqué. Le contact après le transfert sera très bon, ce qui est rassurant aussi.

Quoiqu’il arrive, nous sommes contents d’avoir choisi cette clinique.

Nous sommes allés à l’Acropole, au Stade Olympique, au Parthénon, au Zoo, au Pirée, nous avons pris un ferry pour aller à Salamina…